Aujourd'hui, j'ai décidée de vous offrir quelque chose de différent, soit une nouvelle passion. Les chandelles parfumées faisant partie de ma vie de puis un bon moment, j'ai décidé de vous offrir des petites critiques sur ce sujet.
Aujourd'hui, comme première critique, on parle de la chandelle parfumée Bouquet Printanier de la compagnie Clair de Lune.
vendredi 18 février 2011
jeudi 17 février 2011
Vivre la pauvreté de front
Aujourd'hui, j'ai eu la chance, en compagnie de mes nouvelles collègues de travail, d'aller visiter le quartier dans lequel nous évoluerons en compagnie des enfants dans la nouvelle installation du CPE. Cette installation n'est pas entièrement construite encore pour le moment mais nous y entrons, les éducatrices du moins car les enfants entrent officiellement le 28 février, lundi prochain. Nous avons donc eu l'occasion, avec l'accord de notre directrice, d'aller profiter de la douce température et d'aller nous promener dans le quartier de la garderie, histoire de voir quels services il y a dans le quartier.
Ouff! Choc culturel énorme pour ma part. J'ai vu la pauvreté a son état le plus pur, je dirais. C'est assez troublant pour une fille comme moi qui a été chanceuse, a vécu dans une famille tout de même aisée, dans un beau quartier. Même le quartier ou j'évoluais avec l'école Marie-Charlotte, le quartier St-Pierre, est maintenant vu par moi comme beaucoup plus aisé a présent. La différence entre St-Pierre et le quartier Ste-Catherine de Montréal? À Joliette, la pauvreté était beaucoup plus cachée, "dissimulée", qu'à Montréal. J'ai vu des parcs, tout près du CPE, ou les modules de jeux étaient rouillés, désuets, et ou je n'enverrais pas jouer mon enfant simplement pour sa sécurité. J'ai vu des seringues souillées dans la rue attenante au CPE. J'ai même vue une prostituée en plein jour, tout près. C'est bouleversant, déroutant pour moi. Mais c'est une réalité de Montréal qu'on ne peut pas nier. Je la connaissais déjà, mais elle m'a tout simplement sautée au visage cet après-midi. Et voir que beaucoup de familles avec de jeunes enfants ont fait de ce quartier leur chez-soi, probablement par manque de ressources ou tout simplement de moyens financiers, m'attriste. Et je sais qu'elle a bouleversée aussi certaines collègues de travail en même temps que moi, dont certaines sont mamans.
Par contre, je suis contente d'entrer dans ce milieu pour offrir une nouvelle vision aux enfants, leur donner un peu plus de confiance en eux, leur permettre de vivre à fond la vie de garderie et créer des liens affectifs avec eux. Je sais que je vais leur apporter a ma façon de belles valeurs qui les accompagneront tout au long de leur vie. Je vais faire une différence et oui, même si j'ai vu que leur milieu de vie est pas très rose, ça me motive encore plus à être présente pour eux et leurs familles!
J'ai hâte de commencer, d'être dans l'action avec les enfants. Je suis dans l'action avec les éducatrices, oui, mais ce sera tout un autre monde. Je vous en redonne des nouvelles!
Ouff! Choc culturel énorme pour ma part. J'ai vu la pauvreté a son état le plus pur, je dirais. C'est assez troublant pour une fille comme moi qui a été chanceuse, a vécu dans une famille tout de même aisée, dans un beau quartier. Même le quartier ou j'évoluais avec l'école Marie-Charlotte, le quartier St-Pierre, est maintenant vu par moi comme beaucoup plus aisé a présent. La différence entre St-Pierre et le quartier Ste-Catherine de Montréal? À Joliette, la pauvreté était beaucoup plus cachée, "dissimulée", qu'à Montréal. J'ai vu des parcs, tout près du CPE, ou les modules de jeux étaient rouillés, désuets, et ou je n'enverrais pas jouer mon enfant simplement pour sa sécurité. J'ai vu des seringues souillées dans la rue attenante au CPE. J'ai même vue une prostituée en plein jour, tout près. C'est bouleversant, déroutant pour moi. Mais c'est une réalité de Montréal qu'on ne peut pas nier. Je la connaissais déjà, mais elle m'a tout simplement sautée au visage cet après-midi. Et voir que beaucoup de familles avec de jeunes enfants ont fait de ce quartier leur chez-soi, probablement par manque de ressources ou tout simplement de moyens financiers, m'attriste. Et je sais qu'elle a bouleversée aussi certaines collègues de travail en même temps que moi, dont certaines sont mamans.
Par contre, je suis contente d'entrer dans ce milieu pour offrir une nouvelle vision aux enfants, leur donner un peu plus de confiance en eux, leur permettre de vivre à fond la vie de garderie et créer des liens affectifs avec eux. Je sais que je vais leur apporter a ma façon de belles valeurs qui les accompagneront tout au long de leur vie. Je vais faire une différence et oui, même si j'ai vu que leur milieu de vie est pas très rose, ça me motive encore plus à être présente pour eux et leurs familles!
J'ai hâte de commencer, d'être dans l'action avec les enfants. Je suis dans l'action avec les éducatrices, oui, mais ce sera tout un autre monde. Je vous en redonne des nouvelles!
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